La zone d'ombre juridique dans laquelle évoluent les sociétés de sécurité privées avait permis que des «épaves humaines» soient employées comme mercenaires en Iraq.
L'adoption de la Convention internationale de Nairobi sur l'enlèvement des épaves par l'Organisation maritime internationale (OMI), le 18 mai, a constitué un pas important.
Toutefois, le problème lié à l'absence de matériel d'enlèvement des épaves a subsisté, contrariant l'impact positif sur la rapidité et l'efficacité des opérations portuaires.
Des outils en pierre façonnés par les Polynésiens avant l'arrivée des mutins y sont notamment présentés, ainsi que des vestiges sauvés de l'épave du Bounty.
Selon les responsables géorgiens, les gardes frontière avaient tiré à l'arme automatique à plusieurs reprises sur l'aéronef mais on n'a pas pu retrouver d'épave plus tard.
L'OMI a noté que la Convention internationale de Nairobi sur l'enlèvement des épaves pourrait s'appliquer dans certains cas (voir les par. 74 à 76 ci-dessus).
Autour de ce chapelet d'îles, situé au milieu de la mer Baltique, entre la Finlande et la Suède, quelque 650 positions d'épaves sont connues mais non explorées.
Elles se connaissent pour être originaires de la même province du sud.Ensemble, elles ont fui, dérivé longtemps sur une épave, avant d’être recueillies à bord d’un vrai bateau.