Selon les rares documents disponibles aujourd'hui, il semble issu d'une famille modeste qui s'est construite, génération après génération, un capital social et foncier.
Cette somme fut produite par la vente des valeurs, possessions, biens et choses généralement quelconques appartenant à feu Guillaume Grandet, et qui fut faite avec une fidélité scrupuleuse.
Ayant perdu tous ses biens fonciers et immobiliers, puis dilapidé les 4 millions de pesos de la fortune familiale pour financer son combat, il vit retiré, rongé par la tuberculose et le paludisme.
Une journaliste : La hausse des prix de l'immobilier, et donc des loyers, le manque d'appartements proposés à la location, et la multiplication des garanties demandées conduisent diverses personnes à choisir La colocation.