Je pense d'abord au développement, qui est désormais à la place qui lui revient, c'est-à-dire la première, tout en maintenant l'ambition du rapport Sachs.
Au contraire, nous devons embrasser la vision du Secrétaire général et reconnaître que les idées audacieuses qu'il a formulées sont la meilleure façon de progresser.
Elle a éprouvé nombre de métamorphoses, mais ces liens humains qui se nourrissent tout à la fois de culture, de création, de science et de commerce, ce sont ceux qui existent entre deux vieux pays qui ont le goût de l'audace.