Les crises sociopolitiques ont contraint des milliers de Burundais à quitter leurs terres pour s'exiler à l'extérieur du pays ou dans des camps de déplacés.
Ont été également touchés des maires et des représentants municipaux, dont certains ont dû se déplacer ou s'exiler, alors que d'autres ont perdu la vie.
Que les abandonnés se laissent abandonner, que les exilés se laissent exiler, et bornons-nous à supplier les grands peuples de ne pas reculer trop loin quand ils reculent.