Les créateurs d'oeuvres artistiques s'unissent selon la nature de leurs oeuvres (beaux-arts, musique, littérature, etc.) ou toute combinaison d'expressions artistiques.
En vertu de ces textes, les auteurs étrangers sont protégés sans discrimination par les dispositions législatives françaises sur la propriété artistique.
Il convient d'améliorer les passerelles professionnelles entre les éléments créatifs et les éléments «non créatifs» du secteur, afin de surmonter les obstacles à l'expansion.
Des poursuites judiciaires ont également été entamées contre le dessinateur Oleg Minich, qui pourraient déboucher sur une peine d'emprisonnement pouvant aller jusqu'à cinq ans.
Les réseaux et les logiciels connexes permettant aux créateurs, en théorie, de toucher un public mondial, sont de plus en plus perfectionnés et conviviaux.
Le droit exclusif d'exploiter son œuvre, sous quelque forme que ce soit, et d'en tirer un profit pécuniaire appartient également, sa vie durant, à l'auteur.
La condition préalable du succès est toutefois l'intervention d'intermédiaires fiables, efficaces et transparents qui veillent aux intérêts des créateurs, perçoivent les droits et répartissent les recettes.
La DGCPI a créé divers fonds d'appui aux créateurs, dont le Programme d'appui aux cultures urbaines et communautaires (PACMYC) et le Programme national d'art populaire.
Bon nombre de créateurs sont fermement convaincus que leurs droits moraux sur leurs œuvres sont tout aussi importants, sinon plus, que leurs droits économiques (matériels).