Pourquoi le Conseil de sécurité a-t-il été convoqué précipitamment pour débattre d'une accusation douteuse et irresponsable contre un autre État Membre?
Mais, comme nous l'avons souligné également au cours des consultations, nous avons des réserves importantes au sujet d'une publication prématurée de cette déclaration.
Nous espérons que l'on ne se précipitera pas pour adopter la déclaration présidentielle, car nous attendons, dans notre cas, des instructions de nos autorités avant de pouvoir arrêter une décision.
La Commission ne saurait être poussée à se prononcer à la hâte, et une décision prise sur une question d'une telle importance ne doit pas être mise aux voix.
Le SBI a prié le secrétariat de reporter un atelier plutôt que de laisser trop peu de temps pour les préparatifs et les invitations lorsque son financement n'était pas assuré.
Nous venions trop tard, nous adoptions des mandats qui n'étaient pas en adéquation avec les réalités, et dès qu'un accord de paix était conclu, nous nous empressions de nous retirer.
La Commission n'est que trop souvent obligée d'attendre les rapports du Secrétaire général et du Comité consultatif pour les questions administratives et budgétaires, qu'il lui faut ensuite examiner en toute hâte.
Il est particulièrement regrettable qu'un effort qui était tout près d'aboutir ait été abandonné de façon si abrupte, alors même que des menaces de bioterrorisme se font de plus en plus vraisemblables.
Malheureusement, le Conseil de sécurité a parfois recouru aux dispositions des Articles 41 et 42 de la Charte de manière prématurée, sans qu'aient été épuisés les moyens de règlement pacifique des différends.
Le samedi, comme les repasseuses bâclaient leur besogne, il y eut une longue discussion dans la boutique, afin de savoir ce qu’on mangerait, décidément.