L'Organisation des Nations Unies, qui représente la diversité qui est la nôtre, doit institutionnaliser le dialogue pour encourager la paix et l'harmonie.
Cette coopération pourrait prendre la forme d'activités communes, de mémorandums d'accord et d'une participation des membres d'autres organisations compétentes aux activités du sous-programme, et vice-versa.
En outre, on trouvera dans le même document des renseignements sur le programme de travail commun relatif à la diversité biologique dans les zones arides et sub-humides.
Au niveau international, il est souhaitable d'assurer une collaboration effective entre la Convention sur la diversité biologique et le Forum des Nations Unies sur les forêts.
La diversité et l'ampleur de la participation des États Membres est ce qui fait du maintien de la paix par les Nations Unies une entreprise collective unique.
Le Partenariat sur les forêts offre aussi un mécanisme permettant de renforcer la collaboration dans des activités visant à réaliser les objectifs communs de la Convention et du Forum.
La Convention et le Forum devraient chercher les moyens de faciliter l'acheminement effectif des ressources existantes vers les forêts et la biodiversité, et attirer de nouvelles sources de financement.
Sainte-Lucie réaffirme que l'ONU, précisément du fait de sa diversité, est la seule organisation ayant la légitimité morale et politique pour faire face comme il se doit aux problèmes mondiaux.
Les travaux relevant de la Convention sur la diversité biologique et du Forum des Nations Unies sur les forêts peuvent être entrepris par toute une série d'organes ou de mécanismes.
Compte tenu de la diversité des questions traitées dans le cadre de la prévention des conflits, beaucoup d'organes, d'institutions spécialisées, de fonds et programmes de l'ONU ont un rôle à jouer.
Le nombre et la diversité des demandes d'assistance électorale continuent de donner lieu à de nouvelles activités et à de nouveaux modes de coopération à l'intérieur du système des Nations Unies.
L'écosystème de l'Okavango: Cet écosystème offre un bon exemple des possibilités d'activités communes, non seulement entre les deux Conventions mais également avec d'autres acteurs, y compris la Convention sur la diversité biologique.
Compte tenu du grand nombre de ces initiatives, nous voudrions que l'ONU adopte une approche globale pour les restructurer afin qu'elles puissent se renforcer l'une l'autre et trouver l'objectif qui les unit.
Il faut exploiter l'avantage comparatif que détient le Mécanisme mondial afin d'améliorer les programmes communs aux Conventions de Rio qui concernent la dégradation des terres, les changements climatiques et la diversité biologique.
La diversité des sources d'information disponibles exige de l'Organisation des Nations Unies qu'elle ne ménage aucun effort pour faire entendre sa voix tout en préservant sa crédibilité et le caractère approprié de son action.
Cette biodiversité particulièrement riche, désormais classée au patrimoine mondial de l'Unesco, porte encore les stigmates d'une vingtaine d'années d'exploitation.
Donc les pays francophones sont ceux les plus en pointe au sein des Nations Unies pour demander à ce qu’il y ait ce respect de la diversité culturelle et linguistique.