Cela signifie qu'en valeur absolue les excédents commerciaux des pays exportateurs de pétrole dépassent les déficits commerciaux des pays importateurs.
Toutefois, la participation de ces derniers au commerce international des services s'est accrue et leur déficit commercial global dans ce secteur a diminué.
Bien que les importations dépassent de loin les exportations, ce déséquilibre commercial est ordinairement compensé par les recettes tirées du tourisme et du secteur des services financiers.
Tandis que le déficit commercial annuel moyen avec Israël était supérieur à 1,5 milliard de dollars, la moyenne des transferts courants nets était inférieure à 1,2 milliard de dollars par an.
En même temps, le déficit commercial a atteint des proportions sans précédent - 73 % du produit national brut (PNB), soit 30 % de plus que sa moyenne sur 30 ans.
Bien que les importations dépassent de loin les exportations, ce déséquilibre commercial est plus que compensé par les recettes tirées du tourisme et du secteur des services financiers.
En troisième lieu ce qui est peut-être le plus important c'est que l'élargissement des déséquilibres mondiaux et particulièrement le déficit extérieur des États-Unis continue de constituer un risque majeur.
Cela signifie que tous les fonds reçus de la communauté internationale au cours de la crise actuelle n'ont pas été suffisants pour couvrir le déséquilibre des échanges commerciaux avec Israël.
Bien que les importations soient 100 fois plus élevées que les exportations, ce déséquilibre commercial manifeste est plus que compensé par les recettes invisibles tirées de l'industrie touristique et du secteur financier.
En Afrique subsaharienne (Nigéria et Afrique du Sud exclus), les entrées nettes de capitaux ont été surtout des apports financiers privés et officiels, qui ont aidé à financer le déficit commercial.
D'autre part, Vanuatu est extrêmement tributaire d'importations de plus grande valeur - des produits manufacturés, pour l'essentiel -, ce qui a entraîné une hausse des déficits commerciaux au cours des dernières années.
Bien que les importations soient 100 fois plus élevées que les exportations, ce déséquilibre commercial manifeste est plus que compensé par les recettes invisibles tirées de l'industrie touristique et du secteur financier.
Bien que les importations soient 100 fois plus élevées que les exportations, ce déficit commercial manifeste est plus que compensé par les recettes invisibles tirées de l'industrie touristique et du secteur financier.
Les importations sont près de 100 fois plus élevées que les exportations, mais ce déséquilibre commercial est plus que compensé par les recettes tirées de l'industrie touristique et du secteur des services financiers.
Toutefois les recettes du change des devises tirées des permis de pêche, les remises des marins, les revenus de l'aide et les revenus du TTF ont, de manière générale, couvert le déficit commercial.
Le déficit commercial de la France s'est réduit de 0,75 milliard d'euros en mars 2016 pour s'établir à -4,4 milliards, ont annoncé ce mercredi les douanes françaises dans un communiqué.
Le déficit commercial se creuse également dans l'industrie chimique, le secteur des produits agricoles ou encore celui de l'énergie, avec un cours du pétrole au plus haut depuis 10 ans.
A.-S.Lapix: La chute du cours du pétrole a fait baisser le déficit commercial de la France de 12 milliards au 1er semestre 2023. Le déficit reste abyssal: 30 milliards.
Le déficit commercial américain pour les biens et services s'est abaissé en octobre, la croissance des exportations étant plus rapide que celle des importations, a indiqué mercredi le département du Commerce des Etats-Unis.