Cette recommandation a été acceptée par les autorités et les procédures administratives pour son application, y compris la destitution du directeur, ont été engagées.
L'application de la législation sur la propriété et la destitution des dirigeants criminels au niveau local contribueraient à accélérer le retour des réfugiés.
Depuis la destitution de l'ancien Président, il a maintenu des contacts étroits avec les nouvelles autorités qui ont donné suite à plusieurs de ses recommandations.
Ils doivent toutefois avoir la possibilité de s'opposer à leur destitution dans des procédures offrant des garanties d'indépendance et d'impartialité, en vue de solliciter leur réintégration.
L'imposition d'une sanction disciplinaire ou le licenciement, par exemple en Hongrie, ou la condamnation à une peine de prison, en Thaïlande, sont aussi un motif de destitution.