Les inondations ont considérablement entravé l'acheminement de l'aide humanitaire, de nombreuses routes ayant été balayées par les eaux et les pistes d'atterrissage étant détrempées.
Les pans de leurs robes voltigeaient et tournoyaient autour d'eux alors qu'ils traversaient en pataugeant le potager détrempé pour se rendre au double cours de botanique.
Mais la menace continuelle étaient les éboulements : car, outre l’insuffisance des boisages, toujours bâclés trop vite, les terres ne tenaient pas, détrempées par les eaux.