Puis des études épidémiologiques, notamment chez les Aborigènes d'Australie, ont montré que la consommation de sel était directement proportionnelle au risque d'hypertension artérielle.
Pathologies infectieuses et parasitaires qui touchent plutôt les enfants, et pathologies chroniques et dégénératives (diabète, hypertension, etc.), qui touchent plutôt les adultes.
Une consommation supérieure à cette quantité peut entraîner des symptômes tels que l'anxiété, l'insomnie, des difficultés de concentration, la fatigue, l'hypertension, des tremblements et une dégradation des muscles.
D'abord, c'est le premier, protéger les plus âgés, les plus fragiles, celles et ceux qui sont atteint de diabète, d'obésité, d'hypertension, de maladies chroniques et qui sont les premières victimes du COVID-19.
Pourquoi cette hausse ? Sans doute parce que les facteurs de risque d’AVC – hypertension artérielle, diabète, obésité, sédentarité… – sont mal contrôlés chez les plus jeunes.